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Article publié le 22 mars 2015. oOo « Te casse l’aqueduc mon bijou ! » Entendue en rêve cette phrase indue. À ne pas relever ici. Est incongrue. Heureusement encore que pas viaduc où passe le lecteur. Ou pire : la lectrice. Ce bijou d’une eau pure coule sans savoir à poisson pas pris. « Vite dit » écrit Donne. Et reste le sublime ici cueilli sur l’arbre flash au flanc du puits. S’alignent les figures « qui en ont besoin et le soutiennent lui lequel de son coté les soutient à merveille » comme dit Longin. L’eau du canapé lampe le canapé via l’aqueux duché des Thomas qui y mettent le doigt pour décrocher le cocotier crémeux d’la certitude. C’est la rive gravide qui oreilles ouvertes est cet écartement fastueux du réveil à noyer le poisson. Faut donc entrer dedans et frétiller d’écailles d’une rive à l’autre viaduc aqueduc et s’y mouiller comme le vieux poète qui trouve terrible de beauté la phrase de l’introduction.
véritablement étonné comme sous déclic de guillotine/ et puis la tête au panier
Andréa Zanzotto (traduction Philippe Di Meo) |
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