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Article publié le 29 mai 2016. oOo Pingouins et ours polaires sur l’étagère en perdition dans les journaux. Sur les écrans qui présentent leurs dernières collections d’été verres fumés et une tache vermillon sur le devant de la robe exhibée qui est l’information qu’ils appellent un défilé de mode. Aussi le ciel caverneux et hémiplégique assiste à ces trémoussements de popotins grands crus.
Un froid perpétuel comme de Chaux-sous-Cendre du récit de Leopoldo alias Clarin évoque bien ce temps de cette toux des âmes.
Quand on ouvre ce temps on y trouve un pépin comme on suit un enterrement par temps de pluie avec celui de la sardine en têteenterrement résumant bien le temps de la pêche de moins en moins évangélique pour le monde-poète et celui du grand Pan.
Où les peaux mortes de la mort sculptent les équateurs artistiques peintures sculptures musiques danses l’éternel maintenant de l’éternel Adam le milliardaire en faillite de sir thomas Browne renie la chute et cette idiote métaphore.
Pingouins et glaciers comme une seule tige celui du larynx d’une rose trémière est le rêve de tous la seule religion valable non pas celle des Anytos et autres Meletos intègres qui dévorent leur coq à la sauce tartare.
Je voudrais(…) mettre un petit oiseau en pleine nuque du méchant
César Vallejo |
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