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Article publié le 9 octobre 2016. oOo Tous les anniversaires, c’est là qu’on se heurte À la fenêtre au détroit fléchissant. Dans les mêmes limites que ce qui précède, Peut-être des arbres, Qui sont des portraits plus ou moins ressemblants Dont les feuilles jaunissent avec le sourire Que sont aussi les rides. Les murs sont de face Une page intérieure et grise comme un ciel Ressassant ses saisons, ses oiseaux, une troupe, De petits lascars, contiguë à l’image De celles de choses pleines de caresses, Entre évènements purs et ces propositions Nocturnes retournées comme un vieux matelas. Et tintant comme verres à la fragilité Du présent, maintenant, accroché au vestiaire Jusqu’aux prochains arbres, et prochains visages, Neiges, vêtements.
endossant la Caspienne d’un golf propre et frais l’auteur |
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