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Article publié le 23 juillet 2017. oOo Le petit sac et la chaise à bistrot devant un monde mort sont la mémoire à cran d’un parachute ou le redits-le moi d’un café non sucré qu’on boit sans qualité. Les bas des rues pavées de maigres érections s’effilochent d’amour talonné ciel cassé. Café à l’addition serrée : le dieu-pourboire- non-compris se pointe dans le gris défolié d’un jour en simili Soucoupe-mandala restreinte devant les éboulis consommés en terrasse d’une âme appareillée d’un ahan provisoire. Et l’aviron fragile dans le fond de tasse raclement Limoges grillon sans foyer pour d’autres amarres torves où aller. Nos dianes carquoisent d’ennui trébuchant et sonnent la chasse au ressac du clavier où le monde est vivant.
Et comme lié et comme à coté, et comme à coté et comme lié Gertrude Stein |
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