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Article publié le 6 mai 2018. oOo C’est au plancher de triompher avec ses aspérités ses sommets et ses puits ses mâts et ses cordages. Son ciel est le vélo où pédale la lumière accoudé à la flaque où scintillent des ponts enjambant le plafond. Le mot cosmos tend son ardoise et son crayon dans les rayons. Des troupeaux d’ânes et d’esthètes font la tête et font signe de près à ce sol étendu limicole et voilé et dont la profondeur est le mot seulement. C’est au plancher de rire et d’agir et de dire les arbres du vent l’odeur appesantie du grand chambardement de la chair attentive. C’est au plancher son sol à sol de paniquer en coupant le chemin à l’enceinte du jour et en damant d’un musculeux et bon braquet le bruit du temps.
Tout doit être perçu comme quantités infinies de choses. John Ashbery |
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