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Article publié le 22 septembre 2019. oOo Sublimement l’œil se perd dans son obscur solstice d’une belle mayonnaise de salut qui snobe le soleil en acier de haut niveau pour plonger son auriculaire dans sa vue canne blanche et gitane d’abus pour tâtonner sur l’arrogance de la peau dans ce siècle écorché par la râpe éloquente de la marchandise
Il faut que l’œil transperce l’armure réalité qui est le tartre borné de la capitalisation sans bornes il faut que l’œil ouvre en grand sa braguette et philosophe dans la caserne et le béton
Or donc prenons la fuite avec cette insolence d’une pipe en chair pour être bien ici clairon palpable et chaire où je proclame l’âme qui est la laitue l’amoureuse bottée de bonds en capricorne le bouquin d’or où vient s’écrire l’os du sang la caravane des courants du flux et des refus
Et mettre le signe de la négation qui est amour et le paratonnerre et la sueur des draps en avant toute est l’atout trèfle noir ébloui de volcans où la mort se suicide où éros crawle nu comme un piment nocturne au libellé du songe |
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