Toute ressemblance avec un texte qui sonne à votre mémoire n’est pas une coïncidence !
Les politiciens qui, depuis de nombreuses années, sont à la tête des institutions françaises, ont formé un pacte antisocial. Ce pacte 49/3 alléguant la défaite des pauvres gens, s’est mis en contact avec le grand fric international pour baisser vos pantalons.
Certes, nous avons été, nous sommes submergés par la force capitaliste, visible ou souterraine de l’immonde bête bancaire.
Infiniment plus que leur nombre, ce sont leurs réserves, leurs manipulations boursières, la tactique des banquiers ayant soi-disant surpris les marionnettes qui nous dirigent, au point d’en arriver là où nous sommes aujourd’hui. Mais le dernier mot est-il dit ? L’espérance doit-elle disparaître ? La défaite est-elle définitive ? NON !
Croyez-moi, moi qui vous écris en connaissance de cause révolutionnaire et vous dis que la France n’est pas perdue. D’autres moyens que ceux qui nous ont vaincus peuvent faire venir un jour la victoire.
La France des petites gens n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle n’est pas seule ! Elle a une multitude derrière elle. Elle peut faire bloc avec tous ceux qui tiennent la rue dans le monde et continuent la lutte. Elle peut, comme dans tous les pays, utiliser l’immense pouvoir de l’amour universel
Notre guerre n’est pas limitée au territoire de notre malheureux pays ! Notre guerre n’est pas tranchée par l’application du 49/3. Notre guerre est mondiale. Toutes les fautes, tous les retards, toutes les souffrances n’empêchent pas qu’il y a, dans l’univers, tous les moyens pour un jour vaincre nos banquiers. Foudroyés aujourd’hui par la force du grand fric, nous pourrons vaincre dans l’avenir par une force d’amour bien supérieure. Le destin du monde est là.
Moi, ex maréchal-des-logis Henri Valéro, actuellement en Espagne, j’invite tous les sans peur qui se trouvent dans l’Univers ou qui viendraient à s’y trouver, surtout sans leurs armes, j’invite les ingénieux et les ouvriers spécialisés des industries du bonheur à se mette en rapport avec moi.
Quoi qu’il arrive, la Flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre et ne s’éteindra pas.
Demain, comme aujourd’hui, j’écrirai dans la RAL,M.