Ni désert ni forêt où l’abondance est animale...
Ni désert ni forêt où l’abondance est animale /
Des façades bleues où le volet se ferme et s’ouvre
Étêtant les géraniums toujours atteints de pythium
/ puis arrachant la tige noire elle invoquait son dieu
Et ses seins / « j’ai jamais cru au génie de l’enfance :
Piètre poète celui qui imite le cri de l’oisillon /
Des idées derrière la tête, oui / et cette histoire
D’omelette nécessaire héritée de l’expérience
Du Pouvoir / ne me parlez plus de cette fille ni
De cette plage où j’ai imité le cri de la mouette »