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Article publié le 10 mai 2020. oOo C’est tout un jeu de deuil dans le regard A l’entorse des sèves, où cet encombrement De réseaux vicieux de l’été contondant Morigène ses meules, hèle la truelle De ta vue depuis cet appareil de haies Qui s’efferve de mouches ; près d’un éboulis A l’odeur de fêlure, vibre la férule D’un laps de silex ; on cueille l’étendue Au faciès de la ronce où c’est en équilibre Le couac de l’instant : Notre histoire essaimant Ses stèles, ses fantômes, ses progénitures Sur le pré qu’apostrophe le dé de ton nom Et la machinerie frivole du présent Qui dresse ses tréteaux dans les non-lieu du temps. |
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