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Dans ce court-métrage hélas inachevé, ou peut-être laissé en suspens mais dans quel espace, Valérie Constantin s’est approprié les œuvres de Georges Ayvayan (sculpteur), de Robert Vitton et Gilbert Bourson (poètes), plus la voix de Louise Bourgeois et les bruits de Patrick Cintas, pour modeler cette œuvre purement plastique qui connaît le dessin autant des volumes que de l’écriture, aussi bien que le secret des voix et autres présences sonores qui se passent, au sens propre, de commentaires. Si cette introduction à l’œuvre de Valérie Constantin n’est ni merveilleuse ni pleinière, elle n’en reste pas moins stimulante pour ce qu’elle propose de véritablement esthétique. Certes le numéro 112 de la RALM qui lui est consacrée (plus à l’œuvre donc qu’à son auteure) est loin d’en cerner l’importance, mais qui s’y frottera avec un minimum de sincérité et de connaissance du sujet y trouvera de quoi alimenter sa critique toujours, espérons-le, en alerte.
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