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Article publié le 14 avril 2009. oOo L’homme exilé et la femme exilée
De l’injustice, de la haine suprême de l’injustice
L’homme exilé se voit et Des fois ne se reconnaît pas tel qu’il est, Et la femme exilée, silencieuse, a du mal à dire : "Je suis exilée, j’ai pensé au son de Ce nom, peut-être sans le comprendre Parce que je ne comprends toujours pas ce qu’est l’exil
Mais je ne peux me taire, ni rester en place."
Les exilés sont peut-être des noms effacés des Dossiers classés sans suite de ce qui vivent
Au quotidien sans insomnie. "J’ai trois ans d’insomnie, mon exil a le même âge." Traduction d’après Sonia El Amri
El exilado y la exilada El exilado le teme a los muertos a la injusticia, al odio supremo de la injusticia. El exilado se ve a sí mismo y a veces no se reconoce como tal, y la exilada, callada le cuesta decir, soy exilada, pensé en el sonido de aquel nombre tal vez sin entenderlo porque aún no entiendo que es exilio. Pero no puedo callar, ni dejar de hacer. Los exiliados tal vez sean nombres borrados de los expedientes secretos de los que viven cotidianamente sin insomnio. llevo tres años de insomnio, los mismos años del exilio.
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Larmes d’or
à Claire, Alex et à la douce Olga Et comment savez vous de quelle couleur je vois les choses ? Fragment, conte de Eduardo Galeano
Ce n’est pas ta faute mon amour, que le monde soit si laid Ce n’est pas ta faute mon amour, tant d´échanges de coups de feu Tu t’en vas de par la rue versant des larmes d’or Manu Chao
Enfants, je n’en suis pas certaine, Mais il doit y avoir un endroit (peut-être un futur) où la violence ne fouette pas si fort. Où elle ne nous attraperait pas, où elle pourrait seulement exister, à la télévision, dans les jeux et les dessins animés. Monde violent, monde de dagues, monde de piquets. Il nous touche, il nous attrape, il nous dégénère, et je n’en suis pas certaine mais je suppose que peut-être dans le futur les mains de la folie existentielle ne nous déchiqueteront pas comme des morceaux de chiffon jetés par terre et où nous serions traités comme des pétales des roses (matériel qui nous constitue), et pas comme Icare fondu par le soleil.
Larmes d’or, images sonore de complaintes, nous parlons, nous crions, peut- être que l’écriture parle, L’art parle, la musique parle. Mais nos larmes d’or parlerons toujours avec conscience, agressivité, guerrières de la parole. Elles sont nées et se sont reproduite depuis l’esprit, elles fleurissent de la terre pleine de tendresse et d’ « arequipe ». Elles sont douceur, canne á sucre, de canines de croyances, de moralité qui ne sont pas infâme, d´amour pour l´égalité, pour la caresse du quotidien, pour le délire de s’enrichir de connaissance, pour la science qui construit, pour les morceau de terre naturel, et les dauphin roses de l´Amazone que mes yeux ont regardé sans la peur des fantômes. Cette nature a évolue, pourquoi ne pas croire que la nature agressive de l’homme évolue et se transforme en tendre raison.
Lágrimas de Oro A Claire, Alex y a la dulce Olga. ¨...¿Y como sabe usted de que color veo yo las cosas ?...¨ fragmento, cuento de Eduardo Galeano
“Tú no tienes la culpa mi amor, que el mundo sea tan feo tu no tienes la culpa mi amor, de tanto tiroteo vas por la calle llorando lágrimas de oro” Manu Chao, Clandestino Niños, yo no lo se de cierto pero debe haber un sitio (tal vez un futuro) donde la violencia no nos azote tan fuerte Donde no nos atrape donde solo sea algo que existe en la televisión en los juegos y dibujos animados mundo violento mundo con dagas mundo con estacas nos toca nos atrapa nos degenera y yo no lo se de cierto pero supongo que tal vez en un futuro las manos de la locura existencial no nos Desencaje como pedazos de trapo tirados en el suelo, donde seamos Tratados como pétalos de rosas (material que nos conforma) y no como Icaro Derretido en el sol.
Lágrimas de oro, sonora imagen de quejas, hablamos Gritamos, tal vez la letra hable, el arte hable, la música hable Pero nuestras lágrimas de oro siempre hablaran consientes, agresivas, guerreras en palabras, ellas nacen y se reproducen desde las mentes, ellas afloran en la tierra de ternuras con arequipe. Ellas son dulce, azúcar de caña, colmillos de creencias, de moralidad no infame, de amor por la igualdad, por la caricia de la cotidianidad, por el delirio de enriquecerse en el saber, por la ciencia que construye, por los trozos de tierra natural y los delfines rosados del Amazonas que mis ojos vieron deslizarse sin miedo a los fantasmas, aquella naturaleza ha evolucionado, ¿Por que no creer que la naturaleza agresividad del hombre evolucione y se convierta en razón ternura ?.
Paris, 1 de diciembre 2004 |
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