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Article publié le 25 février 2013. oOo Pour ceux qui ne l’auraient pas encore compris — autrement dit généralement pour ceux qui contemplent leur nombril — la RAL,M, depuis le numéro 81 d’octobre 2012, essaie de construire une série. Sur les conditions d’existence :
Octobre/décembre - Nº 81 - Superstitions Janvier/mars - Nº 82 - Modernité, aimer la vie ou pas... Avril/juin - Nº 83 - Pétainistes endormis Sur la et les question(s) d’écrire :
Juillet/septembre - Nº 84 - Hypertext is NOT text Octobre/décembre - Nº 85 - Publication On Demand... de l’auteur. Une fois fait le tour de ce programme, on pourra le refaire, se réservant la possibilité d’en améliorer la circonférence, et ainsi, chemin faisant, construire quelque chose qui n’ait rien à voir avec le cordon ombilical ni avec l’avarice cher à ces cœurs. Ici, nous abordons la question de la modernité. Mais pas sans la tradition. Cela va de soi ! La Tradition, voix polysémique, retient la connaissance et l’alimente infiniment. Évidemment, toujours à cause des nombrilistes, on nous a sucré le plagiat qui était, jusqu’à ce que l’avarice des gens de Lettres s’en mêle, le meilleur moyen de retourner la tradition dans sa bouche. La Modernité, grosso modo, se passe de l’obligation de créer des objets, et se tourne, comme la langue, mais dans l’action, laquelle confine non pas à l’éthique, masque des nombrils, mais à l’esthétique qui, comme son nom l’indique, ne cache rien. Grosso modo… Voici donc ci-dessous ce que nous proposons à l’esprit pour le situer dans notre tentative de créer du texte avec tout le monde, et ce malgré l’activité sudoripare de ceux qui ne finiront jamais de se voir alors qu’il n’y a rien à voir de ce côté du texte. Passons… |
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