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Article publié le 4 mai 2014. oOo Dans le métro face à deux beaux genoux ouverts voyager. Le regard fait bouger sa queue et veut entrer est une pensée. C’est la pensée. Voyageurs existant autour pleins de visages qu’on ne peut pas voir qu’on ne regarde pas et qui n’embarquent pas. Entre deux beaux genoux est la beauté qu’on sent est la pensée. La pensée qu’on désire la pensée qu’on est qu’on voudrait pénétrer. Voyage suburbain dans la pensée la vie. Le métro de la vie. De station en station la pensée le désir entre deux beaux genoux. Le corps de la pensée. Les tambours roulent sourd par saccades O ras/ où râle l’ange roux. Gaston Compère |
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