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Article publié le 14 septembre 2014. oOo Ha ! ha !! à peine se souvient le bizness’ est caput -------------------remonte le lieu du leurre avec l’argent du leurre
est empoigné par cent nuages/ troupe de morveux à soies roses ------------------ont enfoui le jour avec toutes les côtes de sa vache, « le coteau ouvert <p------------------dans le brouillard comme une côte »
est Ha ! ha !!
bien que je n’espère plus me retourner à nouveau flottant de-ci de- là entre perte et profit entre profits et pertes et l’ordre du chaos qui passe dans la langue monte et se joint au jeu
j’aimerais bien embrasser ses joues roses et son pantalon changeant de couleur chaque fois qu’ un drôle de pistolet se charge en crapaud-langue et tire un coup de langu’--------du haut du pont d’Inny and the Anna
---------------------------du haut du pont
Ha !ha !!
toi pantin de mes rêves te prodiguerai-je entre profits et pertes là où la mort si elle se répand n’implique nul carnage mais coud de petits pantalons pour les chouettes
Ha ! ha !! à peine se souvient des échecs, des échelles, leur petit Jacob observe le zeppelin qui fustige le ciel et brouille sa confiance pour le prodiguer
---------------------------à nouveau
Ha ! ha !! ordre et chaos ordre est chaos, chaos est ordre homme flottan-------du haut du pont
lâche-toi
Tu es entre deux âges bien que vieux tu rêves des deux âges --------------------tout en déjeunant
ne sachant en sachant que les mots sont les cendres de cet imprudent d’Elpénor ------------------------que disperse Circé au teint rose
car vivre et mourir sont sous le même toit où il s’aventura
---------------------------et tomba d’un seul coup d’un mot nombreux d’un seul
as-tu rencontré un nuage disons transparent et si clair qu’il ne semble ni brume ni ombre -----------------------------------------------un mot seul comme un arbre qui soit aussi un pont un toit ?
car désordre est chaos et chaos est désordre un seul tout un seul toit
les cendres dispersées sont la mer et l’écume entre perte et profit
et restes sur le toit rêves entre deux âges et t’éclaires à la lumière de tes cendres montes entre tes coudes --------------------------------en ordre de chaos
pour au dernier moment voir une queue plissée se déployer en gloire d’un antérieur rose.
Ha ! ha !! toi comme un chat dans le tonneau de pluie aiguise tes moustaches
et saute
-----------------------------------dans les mots le cul par-dessus tête avec toute sa flotte ses yeux noisetier pour aider Eurydice
« Qu’allons nous tolérer ou pas Du chaos aujourd’hui ?—de l’albatros non abattu [tout comme du plongeon d’arène d’Icare ? »
et l’ordre du chaos qui passe dans la langue monte et se joint au jeu
tu regardes le tout d’un seul noyau central appréhende-le comme
Ha ! ha !!
et la robe de bal de cette dépression aux moustaches des phoques s’attachent les mots la berline du gel
flottant de-ci de-là entre profits et pertes entre perte et profit. (Eliot) Au-d’là de l’écho patent l’incognito descendit/ De la berline de Goethe : il flaira le vent, v/ It comme les campagnes étaient belles derrière/ Et se prit à rêver qu’après elle j’étais homm/ e pour le vrai dos.
Denis Roche |
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