Enfin reposés entre nous. Comme dans une gangue filant sur le Nil. Hors de portée de l’horreur et des crimes et des immondices et de l’horreur des abandons un peu partout souillant le monde.
On est loin des égouts. Les alligators de la pensée s’en viennent encore nager dans ces eaux sombres de pensée. Toutes ces palabres tissent donc, s’accordant à la fumée des cigares, comme de fines volutes. Le tout est brassé par l’air provenue de la croisée. Air émané de la fenêtre ouverte. Les fumeurs y confondent leurs souffles d’exaltés repus tout à la causerie...