à Valérie Constantin

Jument du fruit sur l’arbre et penchant du soleil à forer la tempe stridente des feuilles. C’est une embuscade donc une ouverture où s’engouffrer dans le rocher soyeux de la lumière. En folie sont les choses qui prennent la mouche près des lenteurs basses au ras des blancheurs. Vitesse est albinos. Des clochers trop dressés la puanteur sonore émacie l’os du ciel et bloque le galop des lierres inexacts nos bolides goulus. La peinture se crispe sur la soie blutée par tous les repentirs chevauchant chevauchés s’instituant les haies rageuses de la vue. Où les plis font bombance s’ébroue la pensée dans son compost espiègle et saturé d’impacts. La peinture en chemise d’esclave se trousse à la horde typhus de lumière écartée agrippée par la vue. Sphinge des tiges vite et galop damé ras met son T-shirt en dot. Son fruit dessous bosselle le transplant de l’œil. Un enfant qui regarde engrange un chant qui cligne dans ses hangars roses son vacarme d’or. Il semble corriger quelque chose qui manque un tout petit atome à l’enfance de l’art.

souvenirs arrêtés dans l’espace, / besoins et mobiles humains/consentement.

Jackson Pollock