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![]() oOo Arbres au loin rêvent façon de dire de faire une place à danser comme un arbre où prendre la contrée à la taille. Et tournez ! Un vieux regarde un jeune écrire et ses vieux doigts sont chacun comme un homme perclus de jeunesses perdues. Feuilles d’agitation dans les préaux d’écoles déserts de midi où ignorer les mots qui sont des malappris. Les cloches étendent le drap virginal de leurs volées stupides sur l’aire de jeux. Le paysage ici fait claquer ses sabots qui gougent des comportes remplies d’adoptions dont les noms séculiers circulent sur les choses. La balayeuse municipale pour la circonstance est partie en campagne pour la propreté. C’est un concert de vents dans le kiosque des mots qui fait s’éparpiller quelques débordements accorts de bienvenue. Aucun paysage comme celui ci ne fait de fautes d’orthographe ou de grammaire. Il drague ses passants leur fait perdre la face sur ses bas côtés en vaquant à son job. À une table on boit un petit lait qui sent le cotillon cathare et le bushmen en rut et fait le paysage une image pas plus avec caché dedans votre propre dessin à chercher sans trouver.
Tout doit être perçu comme quantités infinies de choses.
John Ashbery |
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