Ton visage enjoué dit tout.
Tes yeux y pétillent d’audace à peine retenue.
Le noir est cet écrin tactile qui propulse ta beauté dans mes yeux.
Nos regards, ainsi, se rencontrent dans l’image amie.
Mais tu débordes l’image, Marcelline, créant ainsi un écran tactile qui appelle le vif d’une étreinte.
Impossible de séparer ton sourire enjôleur de la vision de tes seins.
Ton visage souriant invite à en voir plus.
Audace de ta mise qui appelle une audace toute autre, venant de moi cette fois.
Je commencerai par caresser tes jambes que tu as si fines. Ma main passera sous la dentelle légère de ta nuisette blanche.
D’un trait, je l’enlèverai, cachant un bref instant ton visage, découvrant dans le même temps ton ventre et ta poitrine.
Peut-être alors oseras-tu dégrafer ma ceinture, peut-être préfèreras-tu te laisser aimer.
A foison, ta beauté s’abandonne à sa luxuriance intime.
Fleur d’azur, tu glanes le vent, emporte dans ton passage un peu de cet ahan qui te pénètre.
Jean-Michel Guyot
25 janvier 2015