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![]() oOo Tous les anniversaires c’est là qu’on se heurte à la fenêtre au détroit fléchissant. Dans les mêmes limites que ce qui précède peut-être des arbres qui sont des portraits plus ou moins ressemblants dont les feuilles jaunissent avec le sourire que sont aussi les rides. Les murs sont de face une page intérieure et grise comme un ciel ressassant ses saisons. Ses oiseaux une troupe de petits lascars. Contiguë à l’image de celles de choses pleines de caresses entre évènements purs et ces propositions nocturnes retournées comme un vieux matelas. Et tintant comme verres à la fragilité du présent maintenant accroché au vestiaire jusqu’aux prochains arbres et prochains visages. Neiges vêtements.
Mais en vérité, seule la joie existe dans le temps, elle seule est vraiment là.
Vladimir Holan |
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