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Le sens des réalités (nouvelle série)
Le concept insidieux

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 Article publié le 13 mars 2022.

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Nous arrivâmes quelques jours plus tard à Auckland. Il pleuvait. Un temps maussade plutôt qu’aigre. Nous marchâmes dans une ville qui semblait désertée de ses habitants. Ils s’étaient sans doute réfugiés à l’abri de la pluie. Nous nous regardions parfois les uns les autres, comme pour nous sonder mutuellement. Nous ne savions pas où aller. Nous n’avions aucun contact dans cette fichue ville. Je voyais mon camarade vaciller mentalement à mesure que nous progressions. Je soupçonnais que les questions qu’il se posait (les mêmes que je pouvais, moi-même, me formuler) avaient soumis à rude épreuve son appareil psychique. Ce n’était pas de vagues questions qui nous assaillaient de la sorte. C’était bien plus des réponses échouées, des réponses qui ne répondaient à rien. J’avais une vision amère de tout le milieu cinématographique quand j’observais mon camarade sombrer de la sorte. Je ne pouvais oublier les années qu’il avait passées au service de Jack Ern-Streizald. Je me rappelais bien le studio du fameux Jack Ern-Streizald, un studio que j’avais eu l’occasion de visiter au milieu des années 1970. Comment de telles idioties – les inventions un peu branques du cinéaste – purent-elles alimenter la frénésie dogmatique de militants maximalistes dans les années qui suivirent ? Ne fallait-il pas voir dans l’ineptie des procédés déployés par le réalisateur la source de toutes les aberrations qui devaient suivre ? Les uns disaient que non : tout devait s’arranger « avec le temps ». Les autres se taisaient. À l’extérieur, un défilé militaire était organisé. Oui. Tout devait s’arranger avec le temps. La production cinématographique de Jack Ern-Streizald a finalement connu une destinée qui peut paraître illogique car elle a eu de grands retentissements sur l’esthétique générale des grands médias alors que sa diffusion est restée confinée aux milieux les plus underground. Elle s’effectuait principalement par le biais de bandes vidéo de mauvaise qualité, très rares et qui avaient tendance à se corrompre rapidement du fait de leur alliage grossier. Il y eut peut-être un cinéma pour proposer une projection régulière de ces essais mais ça n’a pas été plus loin. Quant à la carrière du réalisateur, ce n’était qu’un amas de confusion. Sa formation scientifique l’avait conduit à se rapprocher de laboratoires semi-clandestins où l’on étudiait, pour le compte de différents services secrets, les effets de psychotropes variés, ainsi que d’autres modes d’altération de la conscience, dans une perspective de « managament des populations », comme disait le directeur d’un de ces laboratoires qui appréciait beaucoup le travail de Jack Ern-Streizald. C’est même lui qui devait inciter le jeune homme à se lancer dans une carrière de cinéaste. « Vous êtes vraiment fait pour ce métier ! » Jack Ern-Streizald déposa donc un dossier dans une école réputée qui l’accepta sans rechigner (la candidature avait obtenu des appuis en haut lieu). Ces années de mutation virent les résultats du travail de Jack Ern-Streizald, laborantin expert dans la manipulation des propriétés psychotropes du champ visuel, répondre positivement à la soif de nouveauté et d’étrangeté qui animait le public à ce moment. Jack Ern-Streizald se consacra à plein temps à sa nouvelle activité et, très rapidement, monta sa propre société de production en s’associant à deux comparses. La structure s’appela Other Voices. Il semblait important à Jack Ern-Streizald de s’adresser au plus grand nombre en donnant à son projet une ampleur internationale. La société monta une série de courts métrages, qui avaient des titres voisins : Injury Voices, Crying Voices, Resident Voices. Ces productions ne touchèrent qu’un maigre public. Jack Ern-Streizald voulut semble-t-il se rapprocher d’un groupe de pop-rock expérimental. Je ne sais pas pourquoi ce fait est connu d’ailleurs puisque Jack Ern-Streizald n’est jamais parvenu à entrer en contact avec les musiciens. Ils étaient partis en tournée en Europe de l’Est quand il est allé à Londres pour les rencontrer. Et quand ils sont revenus, Jack Ern-Streizald s’était envolé en Nouvelle-Zélande, où il avait été appelé par une agence implantée à Auckland qui agissait pour le compte d’un pays indéterminé (et qui n’avait, peut-être, d’existence que dans l’esprit des responsables de l’agence). À ceux qui l’ont interrogé sur les motifs de son séjour à Auckland, le cinéaste a toujours répondu qu’il s’agissait d’un voyage d’agrément. Le prétexte ne peut tromper personne. Le séjour de Jack Ern-Streizald en Nouvelle-Zélande s’est prolongé sur plus d’un an ! Et, à la suite de cette retraite douteuse, l’homme s’est envolé pour les États-Unis où il a présenté un film doté de moyens considérables. C’était au moment où l’on s’inquiétait en haut lieu du tournant des événements, à la suite du meurtre supposé du pape au Vénézuela (les images en avaient fait le tour du monde et pourtant personne n’était en mesure de confirmer l’événement). On estimait que des troubles se manifestaient çà et là dans la texture de la réalité mais on ne savait où les dénicher, ces troubles. Les événements escamotés se sont multipliés, dans un temps très bref, de façon anarchique. Or, trois ans plus tard, tout est redevenu calme. Rien de tout cela ne s’est passé, comprenez-vous ? Les images diffusées ont été effacées des mémoires. Et tout ce temps, Jack Ern-Streizald allait de succès en succès. Personne ne s’est jamais étonné de ce « premier film » qui était une superproduction dont le budget se compte en millions de dollars néo-zélandais ! D’où provenaient donc ces fonds, puisque le réalisateur n’avait à son actif que de pauvres courts-métrages qui n’avaient rencontré d’écho que dans le milieu très fermé du cinéma expérimental mondial qui se côtoyait alors sur les plages du Pacifique sud. Cette secte fut d’ailleurs éradiquée par la suite. On imagine qu’il s’agit d’un coup de ces miliciens remarqués pour leurs élégants costumes violets et jaunes. La plupart des victimes avaient bel et bien fréquenté le cinéaste dans les années où il étudiait et cette coïncidence ne peut être éludée. Mais on sait peu de choses du déroulement de la tuerie, au vrai. On ne peut même pas certifier que Jack Ern-Streizald ait été directement impliqué.

 

La tête encore engourdie par les excès de la nuit précédente, l’un des tueurs engagés pour ce sale boulot voulut acheter les journaux dans un kiosque. La presse relatait brièvement la découverte des cadavres de tout un groupe de cinéphiles présumés, abattus avec sang-froid et professionnalisme. La police ne semblait pas vouloir s’engouffrer dans l’histoire. Le tueur aurait voulu pouvoir lire le détail de ses propres forfaits dans le journal. Ses acolytes s’agaçaient. Il fallait partir, enfin. « Envoie-leur ta photographie ! ». Lui, il s’enfiévrait. « Serais-je à mon compte, oui ! Je laisserais une signature infalsifiable à mes exécutions. Je ne me découvrirais certainement pas mais je laisserais la presse et les autres médias esquisser mon portrait en brodant à partir d’éléments épars que j’aurais savamment distillés. Mais je vois bien : les journalistes se défient de plus en plus de l’événement réel. Et si l’événement réel était restauré ? Eh bien ! Nous entraînerions la presse et les autres médias dans une danse macabre dont ils perdraient, à force de spéculation, les termes effectifs pour une bonne noyade d’hypothèse ! » Les trois exécuteurs reprirent leur marche mais deux d’entre eux éprouvaient un mal de crâne qui allait croissant. On craignait le pire. On en avait vu, ces derniers temps, des têtes imploser comme des écrans de télévision viciés ! La marche se faisait plus lente, plus lourde, l’air s’épaississait autour des trois agents dont l’un ne se rendait compte de rien. « Chantons donc l’hymne national ! », proposait-il gaîment à ses voisins. Mais ils ne l’entendaient pas. Une vibration interne enveloppait leur pensée et les empêchait de fixer l’attention sur leur environnement immédiat. Leur collègue parvint tout de même à les faire arrêter à proximité d’un café où ils pourraient faire une halte. Les gars semblaient éprouver de la difficulté à faire le moindre mouvement. Ils entrèrent lentement dans le troquet et s’installèrent à une table du fond, noyée dans une demi-pénombre qui leur convenait. L’homme qu’épargnait la migraine commanda des cafés et entreprit d’inspecter du regard l’intérieur de ce débit de boisson. Un individu plutôt jeune et d’allure négligée s’en allait de façon un peu précipitée. Sans doute avait-il suspecté une présence menaçante. Le jeune homme ne cessait de consulter sa montre. À l’extérieur, il manqua de peu de se faire écraser par une voiture en voulant traverser trop vite. Il disparut à l’angle de la rue, ultime point encore visible depuis l’arrière-salle. Dans le bistro, au comptoir, un client régulier buvait un breuvage indéterminé dans un verre opaque aux reflets verts. Il parlait familièrement avec le tenancier et riait de façon sonore et expansive. « Je crois que c’est lui », souffla le scrutateur à ses collègues mal en point. « Tu te trompes », lui répondit l’un d’eux sans même porter son regard en direction du suspect. L’agent était affaissé et il gardait la tête entre ses bras. La douleur était devenue véritablement insupportable. Son crâne, il en était convaincu, allait se fissurer d’un instant à l’autre sous la pression inexplicable qui s’y exerçait de l’intérieur. L’autre insistait : « Je l’ai vu en photo et je n’ai plus le moindre doute, à présent. »

− Il n’y a pas grand monde à cette heure !, s’exclama le client suspecté en se tournant vers les trois agents dont deux se tordaient de douleur. Avez-vous goûté l’eau-de-viorne qu’on sert ici, messieurs ?

− C’est un peu plus tard que les clients arrivent, intervint le tenancier. Je leur sers parfois de cette eau-de-viorne que je fais venir d’Auckland, par petites caisses car la denrée est relativement rare, même en Nouvelle-Zélande !

− Eh bien, buvons en attendant la clientèle qui doit venir un peu plus tard, répondit l’agent qui était encore en état de parler.

Le tenancier sortit cinq petits verres et envoya une tournée d’eau-de-viorne. L’activiste présumé s’approcha de la table où les trois hommes restaient figés et fit remarquer à celui qui semblait encore valide l’état de gêne où se trouvaient ses deux amis. L’un d’eux était sans doute déjà mort, en fait. Sur son visage et même au coeur du cuir chevelu, on voyait les fissures se former. L’autre était moins abîmé. Il lui semblait même que la douleur s’atténuait. Il faisait des efforts pour redresser la tête. « Qui reprendra un café ? », s’écria le tenancier comme par automatisme. Lui n’avait rien vu de la décomposition tragique de l’agent. Personne ne répondit. Le suspect expliqua le plus sérieusement du monde : « Il faudra bientôt vous débarrasser de votre collègue. Je vous aiderai à le transporter hors du café et nous partirons discrètement. Un ami doit me récupérer en voiture d’ici une trentaine de minutes. Vous viendrez avec moi et nous nous expliquerons aux limites de la ville, si vous le voulez bien. » Les premiers clients arrivaient. Un sang de plus en plus abondant s’échappait de la tête abîmée de l’agent qui avait passé l’arme à gauche de façon certaine. Le ciel était d’un bleu quasi américain. On se réjouissait, dans le bistro, du soleil admirable qui dominerait toute la journée. On ne s’inquiétait pas des éclats vaporeux qui entouraient la sphère céleste. Le tenancier expliqua au petit groupe qu’il serait plus prudent de sortir par la porte de service pour plus de discrétion. Les agents rescapés soulevèrent le corps de leur collègue. L’activiste présumé, désormais maître de la situation, ferma la marche. Pourtant, lui non plus n’était pas au mieux de sa forme. Ses pensées se troublaient. Certaines se désagrégeaient au moment même où ils se les formulait. Il avait un mal de chien à s’orienter dans le dédale qui conduisait à l’extérieur. Dès qu’on sortait du bistro par l’arrière, on était pris dans un enchevêtrement de corridors ponctués par des séries de portes quasi identiques les unes aux autres. Personne ne s’étonnait de cette disposition labyrinthique et anarchique des couloirs. Les agents portaient leur camarade défunt en traînant le corps par les pieds, la tête abîmée en arrière, laissant derrière eux une grosse traînée brune au sol. La tête du bonhomme s’était presque entièrement décomposée. De petits fragments du crâne se détachaient de temps à autre. Et le groupe s’engageait dans des truchements invraisemblables de couloirs parfois si étroits qu’ils devaient passer l’un après l’autre entre des parois granuleuses qui semblaient de moins en moins susceptibles de les reconduire à l’extérieur. On s’enfonçait, plutôt. L’activiste en cavale sentait ses pensées se disperser et se disséminer en lui. Il regrettait de n’êtres pas resté dans le bistro à boire de l’eau-de-viorne pour se décider à partir pour l’Italie vers le milieu de l’après-midi. Une femme l’attendait là-bas, il en était convaincu. Au lieu de ça, il y avait ces trois types qui ne le laisseraient plus partir, il le sentait, à moins qu’il n’abatte les survivants. « À la vie, à la mort ! », s’écria-t-il comme pour encourager ses camarades d’infortune. Les agents essayaient péniblement de traverser avec leur charge une galerie étroite. Mais une porte dérobée s’ouvrit sur le côté et les quatre hommes se retrouvèrent comme projetés à l’extérieur.

 

Le monde du dehors était excessivement vif et semblait ivre à cause du soleil. Tout allait trop rapidement. Les voitures fusaient. Les passants allaient de façon frénétique et dessinaient des trajets incompréhensibles. Les vapeurs solaires descendaient à présent à hauteur d’homme, plongeant la ville dans une ambiance brumeuse quoique furieusement ensoleillée. Le monde semblait rire d’un rire qui resterait figé à tout jamais par la suite. Seuls quelques parias (dont faisait désormais partie le petit groupe d’hommes qui charriaient toujours le cadavre sanguinolent) ne partageaient pas cette effervescence à la fois joyeuse et menaçante. Tout semblait à portée de main. Les gens entreprenaient beaucoup de choses et restaient à des angles de rue pour en discuter entre eux. Les effusions de joie étaient nombreuses et soudaines. Des couples se formaient de façon instantanée. On s’embrassait avec fièvre autour des trois agents (dont l’un était décédé) et de leur accompagnateur légèrement en retrait. Eux, ils avançaient à pas trop lents, ce qui semblait exciter plus encore les gens du coin qui se moquaient bruyamment de ce cortège funèbre. Les éclats de rire emplissaient les oreilles des fugitifs qui avançaient hagards sous la clameur de la foule. Pourtant, dans la torpeur festive, certains s’inquiétaient de l’avenir. « Ces temps ne dureront pas ! », criaient des habitants qui se tenaient à l’écart de la parade improvisée. Postés à des angles de rue, ils professaient à la cantonade. « Une guerre soudaine éclatera d’un jour à l’autre. Mais elle ne sera pas une simple tuerie : elle emportera avec elle le principe même de l’information ! Toutes sortes de données qui paraissent objectives aujourd’hui nous semblerons fantasques et chimériques ! »

− Niaiserie ! Niaiserie !, surenchérit un autre habitant installé sur le trottoir d’en face.

− Ainsi, expliqua un nouveau-venu, le brusque départ du réalisateur pour la Nouvelle-Zélande s’est-il accompli dans le plus grand secret. En fait, le travail qu’on lui a demandé un peu plus tard, quand les techniques de sublimation sensitive ont commencé à être au point, ce job ne visait pas vraiment à empêcher les événements qui ont suivi. Il n’était pas question de faire basculer les économies de régions entières dans le marasme et la désagrégation. On cherchait plutôt à compenser, voyez-vous ? On compenserait tout en imposant une certaine philosophie de la vie (une philosophie aveuglante, pour ainsi dire).

 

Longtemps subsisterait, des événements de cette époque, le sentiment d’une fracture existencielle profonde et générale dans le tissu social. La citoyenneté même semblait ébranlée, tant étaient nombreuses les frontières qui s’inventaient au jour le jour, séparant des zones de voisinage de plus en plus clivées. Un autre individu avait pris place à un angle de rue voisin. Il regardait le groupe d’hommes charriant avec difficulté un cadavre sans tête.« Jack Ern-Streizald n’était certainement pas seul ! », cria-t-il d’un trottoir l’autre aux passants qui étaient de l’autre côté. « Certainement pas, en effet ! », lui répondit en hurlant une habitante de l’immeuble qui lui faisait face. La femme avait ouvert la fenêtre en grand et faisait des gestes pour attirer l’attention à son tour. « Pourtant, quels autres repères avons-nous ? La piste de ce médiocre réalisateur de cinéma nous a conduit sur une voie de garage. Rappelez-vous la projection inepte de ce film underground, sacrément underground même !

− Vous évoquez sans doute La Revanche de Vera Gemini !

− Oui, oui ! C’est bien cela. Quand on sortait du cinéma, on avait les yeux en feu !

− Je crois que le cinéma aussi était en feu.

− Il y a eu des incendies. Mais il y a eu bien d’autres choses, croyez-moi !

 

Les agents repensaient eux aussi aux films d’Ern-Streizald, qu’ils avaient eu l’occasion de voir dans le cadre d’enquêtes qui ne devaient jamais aboutir. Ils ne pensaient plus vraiment à la charge qu’ils acheminaient depuis des heures. Ils imaginaient le moment où, enfin, une voiture rouge se présenterait sur le chemin pour les conduire aux limites de la ville. « On nous hébergera un temps, expliqua l’activiste un peu essoufflé. Puis, vous repartirez pour la Nouvelle-Zélande. À moins que vous ne préfériez la Suède ? » Il ricana. Les deux agents épuisés commençaient à sentir qu’ils n’arriveraient jamais au bout de la rue. L’eau-de-viorne qu’on leur avait servie avec tant d’insistance leur montait à la tête, elle contenait sans doute un puissant narcotique ! « Il vous faudra partir clandestinement ». Mais lui, il restait en retrait. Les agents se voyaient déjà dans la cale d’un avion de fortune volant à basse altitude. Leurs cerveaux se concentraient sur des questions inutiles. Ils se demandaient si, dans de telles conditions, un avion de plaisance mal rafistolé pourrait accomplir le voyage. Mais on n’en était pas là. Ils traversèrent la rue tête baissée, ruminant leurs pensées. L’activiste présumé, toujours en retrait, regarda attentivement la voiture rouge foncer sur les trois agents, dont l’un était déjà mort. Aucun d’eux n’atteignit vivant le trottoir opposé.

 

 

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