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Le fils de personne
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 Article publié le 5 février 2017.

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Il y a des années, la maison des Marot se dressait toute seule au bord du Linus, un gros ruisseau qui descendait à travers champs. À cet endroit, le Linus formait un angle que les habitants de cette maison avaient mis à profit pour activer une turbine. Et cette turbine avait alimenté pendant deux ou trois siècles un atelier où on fabriquait, si je ne me trompe pas, des balustrades pour balcon. Le grand-père Marot avait été tourneur dans cette petite usine. Son unique fils en avait pris le contrôle à l’occasion de je ne sais quel évènement social ou guerrier, mais son entreprise avait fait faillite et il s’était pendu par le cou à l’entrée de l’atelier. Ce gros linteau de chêne antique existait encore à l’époque où le petit-fils avait pris possession des lieux. La toiture était déjà la proie du lierre et les murs étaient rongés par d’autres grimpants. Le grand escalier de la façade principale était couvert de mousse. Et c’est par là qu’il descendit pour se rendre à la gare. C’était le printemps, mais Marot n’avait aucune envie de se laisser aller à en apprécier les douceurs et les promesses. Il partait à la guerre. C’était tout ce qu’il avait trouvé pour redorer sa bourse. Il devait de l’argent à tout le monde.

On s’attendait à une saisie. Le conseil municipal avait même rêvé d’un centre culturel. Mais on ne se précipitait pas pour se porter acquéreur. L’endroit était agréable, ensoleillé du matin au soir, été comme hiver. On se contenta de distribuer les terres aux propriétaires mitoyens. Et la maison disparut à peu près sous les feuillages lourds des frênes environnants. Le toit tint bon.

Et voilà que moins de deux ans après son départ pour un lointain pays en guerre, Marot revient. Il lui manque une patte, mais à part ce détail au fond sans importance, il n’a pas changé. Il a conservé cette arrogance qui a toujours été le trait dominant de ses ascendants. Il faut dire que de descendants, il n’en a point. Et on ne lui connaît pas de cousins. Et le jour même, le notaire nous apprend qu’il a réglé toutes ses dettes. Il ne rachètera pas ses terres, mais la maison est à lui. Le maire, découragé, se saoula pendant trois jours que l’opposition mit à profit pour en informer les réseaux.

J’habitais pas loin de la maison des Marot. Je suis moi aussi un descendant de bourgeois de la ville. De la fenêtre de mon salon, je pouvais voir la toiture embroussaillée de l’ancienne fabrique. Je l’avais observée presque tous les jours depuis le départ de Marot. Sans intention précise. Elle était devenue un objet familier. J’aime cette lenteur. Les choses s’installent lentement et prennent possession de l’imagination pour recréer l’Histoire. J’ignore quels rapports entretenaient mes ascendants avec les Marot qu’ils avaient forcément fréquentés à cette hauteur du pouvoir sur la ville. Aujourd’hui, je suis comme le dernier Marot, sauf qu’on ne parle pas de moi. Je ne suis pas allé à la guerre. Et puis je ne dois d’argent à personne.

C’est chez Fignoles que j’ai appris la nouvelle du retour de Marot. Il était arrivé à bord d’un véhicule militaire. Il était en civil et maniait la béquille avec une adresse certaine. La voiture l’avait laissé à la hauteur du vieux pont. Il avait pris le chemin de sa maison sans rencontrer personne. On se demandait s’il prétendait habiter une pareille ruine. Ceux qui passaient sur la route avait tendu l’oreille et maintenant ils affirmaient avoir entendu non seulement la porte s’ouvrir, grinçant de toutes ses dents, mais encore la turbine qui avait provoqué de sacrés remous plus bas dans le ruisseau. On se serait cru dans un vieux roman. Et on était les futurs témoins de ce réalisme de feuilleton anachronique. J’ai avalé mon absinthe et je suis sorti pour observer les choses depuis ma fenêtre, passant ainsi du roman démodé à la parodie de Lovecraft.

La nuit est tombée avant que j’arrive chez moi. J’avais passé la journée chez Fignoles. Je n’étais pas vraiment en état de penser librement. Ces molécules étrangères me brouillaient le cerveau. J’en avais mal aux pattes et la tête me tournait. Je me suis néanmoins posté à la fenêtre, ébloui par l’illumination du clocher de l’église, mais parfaitement capable de distinguer les détails de l’ombre qui s’offrait à mes yeux. Chez Marot, une fenêtre était éclairée. Sa lumière sautillait dans les feuillages. Ou bien c’était de petits animaux qui les secouaient pour se presser au spectacle que Marot leur offrait. Il y avait longtemps que ce n’était pas arrivé. Je comprenais ces petits animaux, oiseaux, rongeurs et insectes, araignées du soir, comme je mesurais ma propre angoisse. J’en chope une chaque fois que je me plonge dans la nuit. Pas tout entier, car je ne quitte pas ma fenêtre. Je vois les coteaux en face par-dessus les toits du faubourg. Y courent d’étranges animaux, pas petits du tout, rapides, poursuivis par leurs ombres mélangées. Je ne suis pas malade.

Mais cette nuit-là, la curiosité, forcément accrue par l’extrême nouveauté de l’évènement et l’inattendu de la situation, me priva de visions et par conséquent de hantises. Mon esprit raisonnait clairement, ce qui ne lui arrive en principe qu’une ou deux fois l’an, à l’occasion des enterrements. La Lune, imprévue elle aussi, se posa sur le toit de la maison des Marot. La fenêtre demeura longtemps éclairée, répandant sa trouble lumière comme je l’ai dit. J’avais ce désir fou de me rendre sur place. Je n’aurais pas frappé à la porte. Je voulais simplement me mêler aux animaux, aux êtres de la nuit que j’aurais certainement effrayés car je suis un être humain et, je le sais, ma place n’est pas dans les branches d’un arbre en pleine nuit de pleine lune. Je refermai doucement ma fenêtre pour ne pas ameuter mes voisins. Ils sont nombreux. Je ne les connais pas tous, mais tous savent de quoi je suis capable quand je perds les pédales, ce qui arrive une ou deux fois l’an, si on se marie. Ou si on me quitte.

Maintenant que vous me connaissez, je peux vous inviter à entrer complètement dans cette histoire. Je ne dis pas qu’elle est incroyable, mais il m’a fallu beaucoup de temps et de réflexion pour finir par la trouver aussi vraisemblable que la mienne. Il se trouve que les histoires se croisent à un moment ou à un autre. Et cela arrive d’autant plus facilement que l’une de ces histoires n’était pas attendue. Il est vrai, personne ne me contredira, qu’on n’avait pas assez réfléchi au retour toujours possible de Marot. Je ne me souviens d’aucune conversation portant sur ce sujet. Et pourtant, on ne peut pas dire qu’on se prive de parler de tout. On pousse aussi le bouchon si ce n’est pas trop demander à nos imaginations. Je conseille deux mesures d’absinthe et trois d’une bonne gnôle de fabrication et d’usage locaux. Ça aide.

Le fait est que cette nuit-là, j’ai dormi. En me réveillant, j’ai même cru avoir reçu un coup sur la tête. Comme j’étais seul, cette folle hypothèse pouvait me rendre fou. Je suis descendu pour aller chez Fignoles et c’est là, mes amis, que je suis tombé sur Marot, un ami d’enfance. Il avait la peau bronzée comme s’il revenait de vacances et aussitôt, avant même qu’il me confie quelque chose, je l’ai plaisanté sur ce sujet. Et il a accepté mon invitation à partager un verre ou deux chez Fignoles. Il avait l’air d’avoir passé une bonne nuit lui aussi. Cependant, la question de l’état de délabrement de sa maison allait finir par se poser. Il en est ainsi de toute conversation suivie. On finit par en apprendre plus qu’on espérait.

Fignoles n’était pas le plus surpris de revoir Marot. J’étais en retard. J’ai parlé du coup sur ma tête et on a ri. Marot riait aussi, mais on sentait qu’il avait envie de parler d’autre chose. Pourtant, les vétérans sont en général plutôt discrets. Et il devait l’être d’autant plus qu’il avait perdu une jambe. On imaginait dans quelles circonstances atroces. La douleur, la peur, la mort qui hésite, les fantômes du passé… Il avait dû être assailli par tout ce que la vie réserve à ceux qui sont sur le point de la quitter. J’en parlais sans vraiment connaître le sujet. Je n’ai jamais vécu une pareille situation. On ne peut pas comparer une crise d’angoisse comme j’en connaissais tous les jours avec les conséquences toujours possibles d’un combat au cœur d’on ne savait d’ailleurs quelle guerre patriotique et lointaine. Ça en faisait, des complications. Et plus on avançait sur ce terrain inconnu, moins on était en mesure d’en reconnaître les étonnements avant d’y soumettre la raison. Mais Marot se taisait, exactement, je l’ai déjà dit, comme s’il avait envie non pas de parler d’autre chose, mais au contraire d’approfondir le sujet. Midi sonna de toutes ses cloches.

Il était temps de passer à table. Chacun prit la direction de sa cuisine. Mais Marot, qui n’avait pas quitté sa chaise alors que je m’apprêtais à régler l’addition, me retint par la manche. Il m’invita alors à partager avec lui un de ces cassoulets dont Fignoles a le secret. Justement, les cassoles étaient au four depuis ce matin. Je me rassis. Et pendant que Fignoles filait en cuisine pour ameuter Bobonne, le visage de Marot devint sinistre. Il avait quelque chose à me demander. Il ne pouvait pas attendre la conclusion du repas dont la perspective m’avait mis du baume au cœur, car j’étais toujours hésitant quant à la bosse que j’avais sur le crâne. Il me regarda sans ménagement :

« Et Geneviève, dit-il distinctement, elle est toujours là, Geneviève ? Elle ne devait pas être mutée à Paris… C’était… avant que je parte…

— Eh non ! Elle est pas partie. Mais ne me demande pas pourquoi. Je tiens pas à ce qu’on s’énerve avant d’avoir fait chabrot…

— Tu me raconteras ça après le café… »

Et son visage est redevenu normal, comme le mien que j’avais pourtant aux traits tirés. Fignoles a amené la cassole et on s’en est mis plein l’imagination. Autant dire qu’au café, j’avais oublié le passé. Marot tenait pourtant à en savoir plus. Geneviève n’avait pas quitté la ville. C’était ce que je lui avais appris avant le premier coup de fourchette. Je n’avais vraiment aucune envie d’en parler, d’autant que je ne savais pas tout. Je savais ce que tout le monde savait. Geneviève, je ne la connaissais pas comme Marot l’avait connue. Ils avaient même couché ensemble. Ça, c’était de notoriété publique. Mais le visage de Marot n’était pas satisfait, car ce que tout le monde savait, il le savait aussi. Il devenait menaçant. Alors, prétextant une envie d’uriner, je suis passé par le vasistas des chiottes de Fignoles. C’est comme ça que je me suis esquinté la cheville. Depuis, je boite de l’autre pied. Pourquoi ? Allez savoir avec ce qui se passe dans le cerveau quand on en sait un peu plus que ce qu’on prétend savoir comme tout le monde.

*

Ça ne m’a pas empêché de courir. Le vasistas était étroit. J’en aurais perdu mon pantalon. Heureusement, Fignoles m’attendait dehors. Il avait mis une grosse poubelle en bas du vasistas. Avec le couvercle dessus. Et c’est justement parce qu’il l’avait mal mis que je me suis tordu cette maudite cheville qui n’appartient qu’à moi. Il haletait comme si un assassinat allait être commis. Par qui ? Mais par Marot, pardi ! Et j’avais le feu au cul, parce que l’enfant de Geneviève, c’est le mien, pas celui de Marot. J’étais en retard d’une journée. Bien sûr que j’aurais dû aller la trouver dès que j’ai su que Marot était de retour. Mais j’ai paniqué. Et ça m’a bloqué derrière ma fenêtre.

Courant comme un cheval dératé dans les rues de la ville, je me frottais la bosse que j’avais sur le crâne. Je ne m’étais pas endormi. On m’avait assommé. Je n’osais me dire qui. Ça me donnait des ailes. Je suis arrivé chez Geneviève dans un tel état d’épuisement qu’elle a cru que c’était les effets d’un abus. Or, s’il y avait bien abus, ce n’était pas moi qui l’avais commis.

« Et c’est qui ? me dit-elle en me pinçant la joue. Le pape peut-être ?

— Alors tu n’es pas au courant… ?

— Ce que je sais, c’est que tu ne te corriges pas. J’aurais l’air de quoi, moi, quand je lui annoncerai qui est son père, à ce pauvre gosse ?

— Geneviève !

— Hé ?

— Marot est de retour ! »

J’aurais voulu la tuer que je ne m’y serais pas pris autrement. Elle m’est tombée dans les bras. Pour un être chétif comme moi, un canon comme Geneviève doit forcément se trouver dessous au moment des rapports. Or, elle était dessus. Et elle gigotait pour contenir ses larmes. Car elle ne voulait pas pleurer une fois de plus.

« Mon Dieu ! s’écria-t-elle en me tombant dessus. Que va devenir ce pauvre enfant ? La Justice voudra savoir, tu verras ! »

Je ne pouvais pas répondre à cette question qui allait se poser alors que nous avions espéré que personne n’en prendrait l’initiative. Mais Marot n’était-il pas revenu pour ça ? Qui connaît tous les effets du combat sur l’esprit ? Clément était son fils. Geneviève le savait mieux que tout le monde. Et elle n’ignorait pas que je n’étais pas fait pour participer à ce genre de conception. Nous nous aimions comme frère et sœur. Clément m’appelait Tiontion en attendant que sa mère lui annonce que j’étais son père. On nageait dans le mensonge depuis deux ans. Et la garce avait prévu que Clément ne serait pas en âge de comprendre avant d’avoir fêté ses vingt ans au moins. Marot allait changer le cours des choses. En enfer.

« Je vais le tuer ! criai-je enfin comme je pus.

— Tu es fou.

— Ça, je le sais déjà. C’est une circonstance atténuante.

— Mieux vaut la prison que l’asile de fou, idiot ! Regarde ton père… Il y est mort. Et pour moins que ça. »

Comme elle était calmée par cette réflexion, elle se souleva et me laissa enfin respirer. Clément dormait dans la pièce voisine. Et quand il ne dormait pas, il prenait toute la place. Une fois de plus, Geneviève m’avoua qu’elle n’était pas faite pour être mère.

« Si ça se fait, murmura-t-elle, Marot voudra de moi maintenant qu’il sait.

— Tu veux que ton fils s’appelle Clément Marot ! Mais tu n’y penses pas !

— Parce que tu trouves que Clément Tines c’est plus poétique peut-être !

— Je n’ai pas honte de mon nom !

— Comme s’il n’avait pas pu mourir à la guerre, celui-là ! »

Certes, je suis stérile, mais pas impuissant. Ma grosse Geneviève reconnaît d’ailleurs que je suis à la hauteur de ses désirs. Pour dire toute la vérité, on m’a stérilisé suite à une erreur de jeunesse. J’en avais engrossé deux. Et comme elle n’avait pas plus de douze ou treize ans, j’ai dû subir les remontrances de la Justice, laquelle m’a confié aux soins éclairés de la psychiatrie. J’étais adulte quand j’ai signé l’autorisation de me couper les couilles. Il paraît que c’est réversible maintenant, mais à la condition de justifier d’un état mental en parfaite communion avec les principes républicains. Le retour de Marot m’encourageait à faire valoir mes droits à la reproduction. Certes, l’analyse témoignerait de façon indiscutable que Clément était son fils, mais je pouvais espérer lui donner un demi-frère si Geneviève consentait enfin à m’épouser. C’était l’occasion où jamais.

« M’épouser ? hurla-t-elle au risque de réveiller l’affreux Clément. Et puis quoi encore ? Si Marot reconnaît son fils, c’est lui que je dois épouser. Et tout rentrera dans l’ordre.

— Dans l’ordre ? Mais tu rêves ? Nous avons tellement menti à ce petit qu’il ne reconnaîtra jamais les siens si tu épouses cet affreux Marot.

— C’est toi qui es brouillé, monsieur Tines ! »

Je l’étais. En principe, ce genre d’histoire se termine mal. Un des personnages perd affreusement la vie, tué par moi-même. Qui peut être l’assassin dans ces conditions, sinon celui qui raconte cette histoire ? Pensez-vous un instant que Geneviève puisse la raconter ? Pour quelles raisons ? Quand à Marot, dès que les choses sont, comme dit Geneviève, rentrées dans l’ordre, il n’a plus rien à dire. Et me voilà de retour dans ma sinistre maison bourgeoise et ancienne, une bouteille dans une main et un pistolet dans l’autre. Mais qui donc m’avait endormi ce soir-là ?

Je rentrai chez moi, l’estomac lourd de cassoulet, mais l’esprit clair comme de l’eau de roche, me reposant cette lancinante question de savoir qui avait bien pu souhaiter que je m’endormisse tôt ce soir-là alors que j’avais prévu de passer la nuit à observer la fenêtre de Marot jusqu’à ce qu’il éteignît sa propre lampe de chevet. On m’avait assommé. En temps ordinaire, j’ai un mal fou à trouver le sommeil. Il arrive même que je ne le trouve pas du tout malgré l’absorption de substances adéquates. Alors vous pensez, le soir où Marot rentre chez lui après deux ans de guerre et de soins militaires… mon esprit, tout rempli de ce que je savais, n’était pas prêt à se laisser bercer par ce que je voyais : sa fenêtre, les animaux et autres créatures, les feuillages noirs, la Lune… On m’avait assommé. On m’avait inculqué le sommeil. Mais dans quelle intention ? Pourquoi était-il nécessaire que je dormisse cette nuit-là ? Et si toute cette histoire de castration était une invention de ma famille inventée pour me priver d’existence ordinaire ? Si Clément était mon fils ? Pourquoi avais-je choisi moi-même ce prénom ? Geneviève me l’avait demandé avec une telle insistance, me promettant de me faire le père de cet enfant dès qu’il aurait atteint l’âge de raison, qu’elle situait à dix-huit ans de là ! On n’est pas maître de son destin. Et Dieu n’a rien à voir dans cette écriture. Nous sommes écrits page après page par les autres, les proches comme les nécessaires inconnus. Et nous finissons par identifier quelques-uns de ces auteurs abusifs. Il est alors trop tard. Il était trop tard.

Je montrai la bosse à mon psychiatre. Il m’écouta. Il ne me plaignit pas. Il savait que je ne rencontrerais plus personne. À part lui-même. Et moi dans le miroir où je ne réussirai jamais à me multiplier, pauvre poète que je suis.

 

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