La langue est la fiction du langage
Amène-toi, j’ai quelque chose à te dire
Allons-nous coucher avant le soleil
Le cabo de Gata étincelait
Peins ce scintillement de sel
Peins-le avant que l’idée
ne t’appartienne plus
comme t’appartient encore
ce que je vais te dire
toi ?
des crevettes dans les dents
le rire qui venait du théâtre
et encore des scènes de déchirement
qu’on ne comprenait pas
la langue, toi…
les prestiges où s’achevait
la comédie d’un bonheur utile et agréable